Le contenu de cet article a été validé par JUNG LAURENT, expert Plus que pro.
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https://www.jl-assurances-avis.fr/En tant que professionnel, quel doit être votre état d’esprit pour que le premier rendez-vous avec votre assureur se passe au mieux ? C’est la question que nous avons posée à Laurent Jung, agent général d’assurance à Brumath (67) spécialisé dans la protection sociale des professionnels.
Identifier son risque le plus grave
Avant toute chose, il vous faut déterminer le risque le plus grave. Quel préjudice sérieux pourrait mettre en péril l’entreprise et le chef d’entreprise ? Cette question est essentielle selon Laurent Jung. Votre assurance doit s’adapter à vos besoins, et non l’inverse.
Être précis, bien comprendre son interlocuteur, son besoin et le risque, voilà les clés avancées par Laurent Jung afin de proposer la solution personnalisée qui offrira la meilleure couverture possible. L’assurance, la protection des biens et des personnes sont une affaire à traiter entre deux humains aux objectifs communs.
La prévoyance individuelle se devra d’éviter un drame, soit dans le cadre familial, par exemple en cas de dépendance en termes de revenus, soit dans le cadre professionnel, afin de « soulager » votre entreprise de vos revenus si vous ne pouvez plus travailler. L’indemnisation ne sera bonne que si le risque est bien identifié et le sinistre bien déclaré, et pour cela, il faut être bien, voire très bien accompagné.
Que se passerait-il en cas d’accident ou de maladie ? Pourriez-vous continuer votre activité ? Vos revenus seraient-ils suffisants pour subvenir à vos besoins et ceux de votre famille ? Chaque situation est unique.
Propriétaire ou locataire, avec ou sans enfant, des charges plus ou moins élevées, la réponse n’est jamais la même. L’assureur se doit d’identifier, au travers d’un échange, les besoins du chef d’entreprise, en déduire les droits éventuellement versés par ses régimes obligatoires, afin de mettre en lumière de possibles « trous dans la raquette ». En effet, les garanties dues par les différents régimes obligatoires de protection sociale (prévoyance, santé, retraite) sont systématiquement insuffisantes au regard des besoins.
Exemple : en cas d’arrêt maladie, un entrepreneur attaché à la Sécurité Sociale des Indépendants (ex-RSI) touchera une indemnisation plafonnée à 56 €/jour, et ce proportionnellement aux cotisations versées. Si l’invalidité venait à durer, l’organisme ne pourrait garantir qu’un revenu maximal d’environ 1 000 € par mois.
L’objectif de l’assureur sera alors de « combler les trous » pour une protection vraiment suffisante et complète, qui permettra à l’entrepreneur de maintenir son niveau de vie, mais également à l’entreprise de survivre à l’événement.
Faire confiance à son assureur
Le métier d’assureur a parfois mauvaise réputation. Pourtant, derrière son bureau, se cache souvent un partenaire de confiance qui place la satisfaction et la protection de ses clients au cœur de ses préoccupations. Mais pour remplir pleinement son rôle, celui-ci doit connaître parfaitement votre situation et vos besoins.
Lors du premier rendez-vous avec votre assureur, Laurent Jung conseille de venir avec la volonté de construire une relation honnête et transparente. Gardez à l’esprit qu’il est là pour vous aider à identifier un besoin réel, afin d’apporter une réponse pérenne. Trouver une solution à une situation donnée, et ce au travers de garanties adaptées et mesurées, associées à un rapport qualité/prix, telles sont ses missions.
Ne pas se focaliser uniquement sur le prix
Pour Laurent Jung, choisir son assurance professionnelle uniquement sur le critère du prix serait peu prudent. Premièrement, il faut savoir que les tarifs pratiqués par les assurances ne sont pas arbitraires. Ils sont calculés à partir de taux qui dépendent de votre région, du type d’entreprise, du chiffre d’affaires, etc.
Vous pouvez bien sûr consulter plusieurs assureurs et réaliser des simulations avant de faire votre choix. N’hésitez surtout pas à comparer d’autres critères comme l’approche relationnelle des agents, les détails et limites des garanties, mais également les spécialités éventuelles des compagnies d’assurances. Toutefois, veillez à toujours comparer les tarifs à garanties égales, et à vous assurer au travers des avis clients s’il en est, du ressenti vis-à-vis de votre interlocuteur.
Enfin, tournez-vous si possible vers un courtier en assurances, comme Laurent Jung. En tant que profession libérale réglementée, l’agent général se doit d’apporter le conseil le plus juste et adapté. Représentant et intermédiaire face aux compagnies d’assurances, son rôle est de défendre les intérêts de son client, et non ceux des compagnies. Une fois le besoin bien défini, il pourra mettre en concurrence diverses compagnies afin de déterminer celle qui apportera la meilleure protection.
Laurent Jung ajoute : « Vous avez le droit, voire le devoir, d’être exigeant. Votre protection n’est pas un simple produit de consommation. Des professionnels qui placent l’intérêt de leurs clients au-dessus de tout sont peut-être plus exigeants que ce que vous pourriez imaginer ».
Alors, avant de rencontrer un assureur pour la première fois, acceptez de comprendre l’assurance et laissez-vous guider par un professionnel dont l’objectif sera de vous protéger durablement. Vous pourrez alors être pleinement rassuré et serein en l’avenir.
Choisissez de vous faire accompagner par la personne qui adoptera un langage compréhensible et pour lequel vos assurances seront la résultante d’un travail d’équipe et de précision.
