Des situations qui mènent à des conséquences désastreuses, tant sur le plan financier que psychologique.
France 2 a dernièrement consacré la première partie d’Envoyé Spécial à des chantiers de construction qui ont viré au cauchemar. Retour sur des pratiques de professionnels malhonnêtes, malheureusement courantes, et les moyens de s’en prémunir.
3 portraits de consommateurs désœuvrés
Il y a Martine, qui a vendu sa maison suite au décès de son mari et a investi dans l’achat d’un appartement neuf sur plan.
Après 70 000 euros d’acompte versés et un an d’attente, le chantier, bourrés de malfaçons, est à l’arrêt. Pour elle « le nouveau départ s’est transformé en cauchemar ».
En attendant la livraison du chantier, elle a déjà perdu 7 000 euros de loyer. Malheureusement, les indemnités de retard n’étaient pas prévues au contrat. Cerise sur le gâteau : le programme immobilier a été revendu, une pratique légale.
Coralie et Stéphane, quant à eux, se sont endettés sur 25 ans pour la construction de leur maison d’un montant de 200 000 euros. Un an après sa sortie de terre, cette dernière est couverte de fissures structurelles. En cause : l’étude de sol qui n’a pas été faite qui aurait pu révéler un terrain argileux et donc la nécessité de bâtir des fondations plus solides. Coût des réparations à prévoir : 30 000 euros, dont ni le constructeur ni l’assureur ne veulent prendre la charge.
Enfin, Pauline et Jean-Charles relatent la construction de leur maison de 120 mètres carrés pour un coût de 170 000 euros. Pour Pauline : « La construction, ce n’est que du stress et de l’angoisse ».
Ils ont fait appel à un expert en bâtiment pour constater les malfaçons : souplesse des plaques de plâtre et laine de verre mal posée.
Pour l’expert, il s’agit d’une « malfaçon typique d’un travail bâclé ». Il résume : « le constructeur va vous vendre la maison au plus cher et va la faire construire au moins cher ».
Entamer une action en justice est parfois l’unique solution. Une procédure longue et coûteuse, dont peu parviennent à bout. Au total, 30 000 contentieux entre propriétaires et constructeurs sont jugés par les tribunaux chaque année.
Se prémunir des artisans peu scrupuleux : la raison d’être de Plus que pro et Balance ton Bricolo
Alors que des milliers de Français se lancent dans les travaux chaque année impliquant des investissements lourds et engageants, Plus que pro se positionne comme un véritable protecteur des consommateurs. Sur son portail, ces derniers peuvent en effet trouver des artisans faisant partie du réseau des Meilleures Entreprises de France, proches de chez eux !
Bien plus que « d’obtenir le devis le moins cher », Plus que pro apporte aux internautes la certitude de pouvoir faire appel à un artisan en toute confiance. Un professionnel suffisamment convaincu de son savoir-faire pour s’engager dans une réelle démarche de transparence, soucieux de répondre aux nouvelles attentes des consommateurs.
Comment ? Grâce à des avis clients contrôlés. La preuve du savoir-faire de l’adhérent Plus que pro est vérifiée en un clic selon le retour d’expérience de ses véritables clients. Le process assurant l’authenticité des avis est pris en charge par Plus que pro.
Garantie supplémentaire : les entreprises adhérentes ont fait l’objet d’une enquête financière. C’est une véritable protection contre les sociétés en liquidation ou en difficulté, susceptibles dans certains cas d’abandonner un chantier en cours de route…
Un gage de sécurité devenu indispensable, à une époque où 9 clients sur 10 consultent des avis clients avant de prendre leur décision d’achat.
Récemment, Balance ton Bricolo, filiale du groupe Plus que pro, a en outre lancé son site pour permettre aux consommateurs trompés de partager leur expérience avec pour buts :
– d’empêcher le prestataire en cause de continuer à sévir ;
– de ne plus être seul face à un préjudice subi, en bénéficiant de conseils d’experts et en mutualisant les témoignages d’autres consommateurs victimes du même professionnel peu recommandable.
Parmi les point essentiels relevés par le site pour choisir une entreprise : contrôler sa santé financière, la qualité de ses assureurs et la satisfaction vérifiée de ses clients.